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Créée en 1991 par deux enseignants passionnés de jeu, la Maison des Jeux a pour projet de promouvoir le jeu en tant que pratique culturelle populaire, émancipatrice et porteuse des valeurs de l’éducation populaire.

Jouer, c’est avant tout partager des moments de plaisir qui ne sont pas en prise avec les enjeux ou les contraintes du réel. Ainsi, nous souhaitons promouvoir le jeu comme une acti-vité libre (liberté de jouer ou non, liberté du choix de jeu) et gratuite (au sens de « autoté-lique ») : qui n'a pas d'autres fins qu'elle-même, que le plaisir qu'elle procure. Ce préalable posé, il est possible de préciser les intérêts multiples du jeu : c’est un élément fondamental du développement de l’enfant et de l’épanouissement de l’individu ; il permet la création d’un espace de liberté, d'expérimentation et d’acquisition de l’autonomie. C’est un espace de socialisation, de convivialité, de rencontres, de découverte culturelle et de partage.


La Maison des Jeux œuvre à :

- Faire (re)découvrir le plaisir de jouer ensemble ; inviter à des rencontres interâges et interculturelles autour de la convivialité et du plaisir du jeu.
- Redonner au jeu sa place dans la vie de chacun et chacune, enfant comme adulte,
- Contribuer à la reconnaissance du jeu comme pratique culturelle populaire,
- Venir en soutien des professionnel.les et des militant.es des structures associatives, socioculturelles et éducatives et médico-sociales.
- Accompagner la réalisation et favoriser l’autonomisation de projets ludiques de proximité.
- Permettre à chacun et à chacune d’appréhender la richesse du patrimoine ludique mondial et toutes les dimensions du jeu libre et gratuit.

Le jeu, une pratique culturelle, populaire et vivante. Le jeu est issu d’un processus de créa-tion : il est le reflet d'une culture, il en émane et participe de sa construction. Il invite éga-lement à l’ouverture culturelle.
Mais avant tout, le jeu est une pratique culturelle populaire, en ce sens qu'elle est produite, appropriée et appropriable par le plus grand nombre. En perpétuelle évolution, elle place chacun.e en position d’acteur ou d'actrice et non pas de spectatrice ou de spectateur. C’est une pratique issue du collectif et construite par une communauté.